Ultra-Violets et Mélanome |
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Conclusion Au terme de
cette étude, nous avons pu voir ce qu’était le rayonnement UV ainsi que les
nombreuses conséquences sur la santé de l’homme, et nous nous sommes rendus
compte de l’existence de rares effets positifs malgré un nombre important d’effets
négatifs tel que le mélanome dont nous avons étudié ses caractéristiques et les
modes de traitements. L’énergie
véhiculée par les UV est cause de mutations génétiques, qui entraînent à leur
tour des cancers ; ainsi les effets de l’exposition solaire ne se limite
pas au traditionnel coup de soleil (qui n’est pas à prendre à la légère) mais
à des pathologies beaucoup plus graves, dans certains cas mortelles. C’est parce
que nous sommes quotidiennement confrontés à ce rayonnement qu’il nous a
semblé intéressant de nous pencher sur l’un des ses effets le plus
dangereux : le mélanome ou « cancer de la peau », pathologie
que nous sommes tous finalement susceptibles de développer avec des risques
plus ou moins élevés : une personne sur quatre née en 2000 sera
susceptible d’en développer un. Il
paraissait ensuite logique de terminer cette étude en s’intéressant aux traitements
administrés du mélanome en fonction de l’évolution de ce dernier. La majorité
des patients seront traités par chirurgie et dans des cas plus avancés, par
la chimiothérapie et/ou la radiothérapie. La
gravité de la maladie nous fait réaliser que les UV sont beaucoup plus
dangereux qu’ils n’en ont l’air et l’on pourrait peut être souligner un
certain manque de prévention des risques les plus graves liés aux UV, outre
le vieillissement de la peau où des brûlures. |
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